KrISS feed 8.9 - Un simple et superbe (ou stupide) lecteur de flux. Par Tontof
  • Wednesday 31 January 2024 - 15:09
    It’s been nearly a year since we announced the Original Prusa MK4. Lately, I feel like time is flying by much faster than ever before, and reading the previous sentence only confirms this feeling. It all seems like yesterday. However, looking... The post What it takes to manufacture 3D printers in Europe appeared first on Original Prusa 3D Printers.

  • Wednesday 31 January 2024 - 14:24

    Organisée par le Cassis le 9 février.
    Inscription par SMS ou message Signal au 06 34 42 92 36.

  • Tuesday 30 January 2024 - 22:48

    Deux articles publiés sur les sites mutu alter-vienne.info et ricochets.cc.

    La Confédération paysanne bloque le péage !

    Depuis près de deux semaines, le monde agricole exprime sa souffrance et ses inquiétudes en France, tout comme l'ont fait les autres pays européens, en particulier l'Allemagne et l'Espagne. Le syndicat minoritaire qu'est la Confédération paysanne n'est pas en reste et entend être audible dans le discours ambiant de la FNSEA écocidaire et libérale.

    Les flics nous avaient tout préparé

    Le rassemblement était prévu à 8h au Super U de la Verpillère, les paysan.nes sont donc parti.es tôt ce matin. Au volant des tracteurs, beaucoup de femmes, une des spécificités de la Confédération Paysanne (CP) qui milite pour plus d'égalité dans le monde agricole.
    Tracteurs, voitures et vélos ont convergé après 9h vers le péage autoroutier déjà fermé et sécurisé par les forces de l'ordre.
    “On veut rester au moins 24h, nous dit une militante, mais la déclaration de manifestation court jusqu'à jeudi 16h, on va voir combien pourront rester jusque-là.”

    Pas facile en effet de quitter sa ferme pour manifester, surtout les éleveureuses qui ont parfois envoyé des proches à leur place, c'est le cas de cet agriculteur à la retraite, venu en voisin représenter son fils : “il a trop de boulot”, confie t-il.

    Une des revendications de la CP est d'avoir une réelle protection sociale qui permette aussi d'être remplacé.e et indemnisé.e sur son exploitation quand cela est nécessaire (maladie, congés, retraite...).

    Les manifestant.es étaient environ 200 sur place, la majorité syndiquée à la Confédération Paysanne mais aussi quelques associations et syndicats (France Nature Environnement, Greenpeace, la CGT, Solidaires).

    Plusieur.e.s représentant.e.s de la CP en AURA ont pris la parole pour rappeler les revendications communes mais aussi les divergeances avec la FNSEA :

    Deux points d'accord existent avec les autres syndicats agricoles

    • Refuser et lutter contre les traités de libre echange par exemple celui qui permet les importations de viande ovine depuis la Nouvelle-Zélande.
    • Garantir un prix minimum pour l'entrée des produits sur le territoire pour casser la concurrence faussée de pays où le droit du travail et les normes environnementales ne sont pas respectées. Ce prix minimum permettra de rémunérer les produteurices et leur offrir une protection sociale.

    Mais aussi des divergences

    La CP condamne la plupart des demandes au gouvernement de la FNSEA comme le "concours Lépine des idées liberales". En effet, une agriculture est possible sans pesticides ni glyphosate tout en respactant les normes sociales et environnementales.

    La suite de cet article à lire sur le site alter-vienne.info.

    A43 : péage bloqué par la Conf paysanne à St Quentin Fallavier, plus grande zone logistique de France


    La Confédération Paysanne Auvergne-Rhône-Alpes frappe un grand coup ce mardi 30 janvier en bloquant le gros Péage sur l'A43 à St Quentin Fallavier, qui est relié à la plus grande zone logistique de France.

    Bancs et tables sont installés, un blocage qui semble parti pour durer !

    Des paysans et soutiens y sont allés aussi depuis la Drôme.

    Des prises de parole du meeting dans cette vidéo.

    ❌️La barrière autoroute de la plus grande zone logistique de France bloquée❌️❌️❌️

    Face aux difficultés exprimées par le monde agricole, les annonces du Premier ministre sont largement insuffisantes voire, pour certaines d'entre elles, totalement éloignées des réalités et de l'urgence d'agir pour redonner des perspectives d'avenir à toutes les fermes.

    Pire, le Premier ministre répond aux demandes productivistes et court-termistes de la FNSEA d'affaiblir les normes qui protègent nos principaux outils de productions : les sols, l'eau, la biodiversité… Les quarante années d'ultra-libéralisme sont en train de détruire l'agriculture comme l'environnement. Il faut dire qu'on nous demande à nous, paysannes et paysans, de faire le grand écart entre deux injonctions contradictoires : d'un côté, produire pas cher, être compétitifs sur le marché mondial avec des pays qui ont d'immenses fermes usines et des ouvriers agricoles payés 200 euros par mois…. et en même temps, de préserver la planète ! Entre les deux, il y a notre revenu !

    La suite de cet article à lire sur le site drômois ricochets.cc

    D'autres infos sur la page de la Confédération paysanne de la Loire.

  • Tuesday 30 January 2024 - 17:59

    La Cour internationale de justice le confirme : il y a un risque sérieux de génocide des Palestinien-ne-s de Gaza.

    Il y a urgence à exiger un cessez-le-feu, à nous mobiliser pour la justice !

    Prochain RDV unitaire à Saint-Étienne :
    Veillée mercredi 31 janvier à 17h30
    Hôtel de Ville

    Événement sur la page de BDS 42.

  • Tuesday 30 January 2024 - 17:44

    Pour nos salaires, contre les suppressions de postes, contre la mise en place des réformes à marche forcée, nos organisations syndicales de la Loire : FSU, CGT Educ'Action, SUD éducation, la FNEC-FP FO et le SE-UNSA appellent à une journée de grève et de manifestations le 1er février 2024.

    La crise de recrutement dans l'éducation se pérennise, et toutes les études montrent que la faiblesse des salaires est le premier obstacle à l'attractivité des métiers de l'éducation. Nos organisations exigent de véritables augmentations salariales en particulier par une augmentation significative du point d'indice pour tous les personnels dans ce contexte de forte inflation, ainsi que l'abandon du pacte. Au lieu de poursuivre la dynamique à peine enclenchée avec les mesures mises en œuvre en 2023, le ministre refuse désormais de discuter de nouvelles mesures générales pourtant nécessaires et envisage même une nouvelle transformation des carrières marquée par un poids croissant des hiérarchies.

    Enfin, de nombreux signes confirment l'échec du Pacte. Les personnels ont bien compris qu'il ne s'agissait pas d'une revalorisation. La mise en œuvre du Pacte a également profondément divisé les équipes, d'autant plus que qu'il a donné lieu à des pressions ou interprétations contraires aux textes réglementaires dans le seul but de faire du chiffre et de sauver le Pacte. Par ailleurs, le ministre s'entête à refuser les mesures salariales d'urgence qui permettraient de sortir les AESH et les AED de la précarité.

    Il est encore temps de renoncer aux suppressions de postes pour permettre notamment d'alléger les effectifs par classe mais aussi d'assurer les remplacements. Il faudrait également recruter davantage de personnels dans l'ensemble des équipes pluriprofessionnelles ... La dégradation des conditions de travail, la perte du sens du métier doivent être pris au sérieux. La formation continue saccagée, l'inclusion sans moyens, les effectifs nombreux dans les classes, etc. : tout cela contribue à dégrader encore davantage les conditions de travail.

    Sur la question de l'inclusion, tous les voyants sont au rouge et les personnels enseignants et AESH sont à un point de rupture. C'est pourquoi nos organisations revendiquent :

    • Un statut de fonctionnaire et un vrai salaire pour les AESH, des recrutements d'AESH et de moyens humains à hauteur des besoins.
    • L'abandon des mesures prises dans le cadre de l'acte 2 de l'Ecole inclusive (statut d'emploi d'ARE fusionnant les AESH et les AED, mise en place des pôles d'appui à la scolarité permettant à l'Education nationale de mettre la main sur les notifications MDPH) et l'ouverture de discussions avec les organisations syndicales sur la base des revendications des personnels.

    Le projet de réforme du lycée professionnel est emblématique du moins d'école, moins d'enseignant·es, plus d'entreprises, plus d'externalisation des missions, et plus de management !

    Cette réforme est à rebours des enjeux éducatifs, elle engage des bouleversements majeurs qui auront aussi un impact lourd sur les conditions de travail de l'ensemble des personnels exerçant en lycées professionnels et sur les conditions d'apprentissage des élèves.

    Nos organisations en exigent le retrait ! Elles demandent au ministre de renoncer à présenter ce projet et à engager de véritables concertations au sein du ministère de l'Education nationale sur la base d'un diagnostic rigoureux à partager sur l'état de l'enseignement professionnel tant pour les élèves que pour les conditions de travail des personnels avant toute réforme.

    Plus globalement, les mesures “Choc des savoirs” annoncées par le Ministre dessinent un projet d'école qui revient sur l'objectif de démocratisation et aggrave les inégalités. Elles vont encore dans le sens d'un contrôle accru du travail enseignant (manuel unique, méthodes imposées, évaluations standardisées) contre la liberté pédagogique.

    Pour toutes ces raisons, les organisations syndicales de la Loire FSU, CGT Educ'action, Sud éducation, FNEC-FP FO et SE-UNSA appellent à se mobiliser par des actions diversifiées dès maintenant et à préparer une journée de grève et de manifestations le 1er février.

    Dernier numéro de « Classe en lutte » et appel à la grève de la CNT-FTE

    Manifestations dans la Loire :

    • Roanne (10h30) : départ devant les inspections du 1er degré (Avenue de Lyon), arrivée devant la Sous-Préfecture.
    • Saint-Étienne (10h30) : départ de la Bourse du travail en direction de la DSDEN.
  • Tuesday 30 January 2024 - 16:38
  • Tuesday 30 January 2024 - 11:03
  • Tuesday 30 January 2024 - 01:00
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